Avec le mois d’octobre survient parfois un petit peu le blues, les journées sont plus courtes, le ciel moins clément, les températures baisses, alors je vous offre un petit peu de musique pour réchauffer les cœurs. Cette semaine je vais donc vous offrir chaque matin une chanson, un petit trésor ancien ou récent. Chacune de ces chansons est interprétée par un acteur ou une actrice de Dallas mais pas seulement. J’espère que je vous ferai découvrir des choses, et que ce petit rendez-vous matinal saura vous faire plaisir… ou sourire 😁😍
Ce matin on commence par un acteur de Dallas 2012, qui est lui un vrai chanteur puisqu’il a commencé sa carrière en chantant dans des comédies musicales. Juan Pablo Di Pace reprend ici l’un des plus grands tube du groupe ABBA, The Winner takes it all.
Profitez de la musique, et à demain même heure même lieu pour une autre pépite… Et si vous aimez ce post, partagez le…
En octobre 2014, les fans de la série emblématique « Dallas » ont déclenché une campagne passionnée sur les réseaux sociaux avec le hashtag #SaveDallas. La raison ? L’annonce de l’arrêt brutal de la série qui a laissé les téléspectateurs en émoi.
La série « Dallas », qui avait captivé les téléspectateurs avec son mélange de drame familial, de rivalités impitoyables et d’intrigues complexes, a été interrompue après trois saisons. Cette décision a laissé les fans dévastés, mais plutôt que de se résigner à la fin prématurée de leurs personnages bien-aimés, ils ont décidé de prendre les choses en main.
Le mouvement a commencé sur les réseaux sociaux, où les fans ont utilisé le hashtag #SaveDallas pour exprimer leur chagrin et leur détermination à sauver la série. Twitter, Facebook et d’autres plateformes ont été inondés de messages passionnés, de pétitions en ligne et de photos montrant le soutien massif des fans du monde entier.
Les raisons derrière l’annulation de « Dallas » étaient diverses, allant des audiences en baisse aux considérations financières. Cependant, les fans ont refusé d’accepter la fin de l’histoire de la famille Ewing. Ils ont partagé des moments mémorables de la série, discuté des rebondissements inattendus et ont souligné l’importance culturelle de « Dallas » dans le paysage télévisuel.
La mobilisation des fans a également pris des formes tangibles. Des pétitions en ligne ont recueilli des milliers, voire des millions de signatures, démontrant un soutien massif pour la poursuite de la série. Certains ont même organisé des campagnes de financement participatif pour financer la production d’une nouvelle saison, montrant à quel point la communauté de fans était déterminée.
Malheureusement, malgré tous les efforts déployés par les fans, la série n’a pas été sauvée. Cependant, la campagne #SaveDallas a laissé une empreinte durable. Elle a souligné la puissance des médias sociaux pour rassembler les fans et a montré aux producteurs l’impact émotionnel et financier d’une série bien-aimée.
Bien que « Dallas » n’ait pas été ressuscitée, le mouvement #SaveDallas a inspiré d’autres campagnes similaires dans le monde de la télévision. Il a également créé une communauté de fans plus forte que jamais, prête à se mobiliser à nouveau si l’occasion se présente.
En fin de compte, le hashtag #SaveDallas a transcendé la simple tentative de sauver une série télévisée. Il a symbolisé la passion inébranlable des fans, leur capacité à se rassembler pour une cause commune et leur détermination à faire entendre leur voix dans l’univers du divertissement.
Bien que la série « Dallas » ait peut-être pris fin en 2014, l’héritage du mouvement #SaveDallas continue de vivre dans le cœur des fans qui n’ont jamais abandonné l’espoir de voir un jour le retour de la famille Ewing sur leur écran de télévision. Et si aujourd’hui on relançait ce hashtag ?
Partagez ce post, n’hésitez pas non plus à raconter si vous avez participé à cette campagne, tant qu’il y aura des fans Dallas continuera à exister…
Ce message s’adresse à ceux qui ont suivi mon voyage en mai dernier à travers les USA. Vous avez commenté, vous avez apprécié mes post, mes photos, mes petits commentaires, bref vous avez aimé, alors je vous propose aujourd’hui un récap de mon voyage à travers la version définitive du film que j’ai monté avec mes meilleurs souvenirs. Je vous partage donc mon album personnel sous forme d’un film qui dure une heure et qui, je l’espère, saura restituer le bonheur que j’ai eu à le réaliser.
Attention, le lien du film ne sera valable que durant les quelques sept jours à venir, il ne sera plus disponible ensuite. Alors si cela vous intéresse, j’ai essayé de faire un montage assez rythmé, avec de la musique, et si vous apprécié, je vous serais vraiment reconnaissant de me laisser un petit commentaire ci-dessous.
Pour info les images ont été faites avec mon téléphone et une Go Pro, et le montage a été fait avec Canva et capcut.
Dés la première saison de Dynastie, il apparait un antagonisme très clair entre 2 univers, celui des riches Carrington affublés de toutes les tares et celui des pauvres Blaisdell, eux-mêmes victime de nombreux problèmes mais apparaissant plus vertueux. Mais assez rapidement les Blaisdell vont disparaitre pour ne laisser place qu’aux Carrington et leur luxe tape-à-l’œil, leurs réceptions somptueuses, leurs bijoux, leurs fourrures et leurs extravagantes tablées.
On ne peut douter que Blake Carrington est un Républicain, politiquement marqué à droite, et certaines de ses positions affichées dés le premier épisode vont en ce sens (son homophobie assumée, son mépris des classes laborieuses). Même si le personnage est ensuite peu à peu adouci, les Carrington et leur fortune sont forcément de droite, conservateurs et ultralibéraux, à l’image du président qui entre à la maison blanche presque au même moment ou le premier épisode de la série est diffusé (Ronald Reagan, élu fin 1980, entre à la maison Blanche le 6 janvier 1981).
Quant à l’univers dans lequel les personnages vont évoluer, il semble bien à première vue que le conservatisme ait été le maitre mot de la série. Car si Steven est présenté d’entrée de jeu comme étant homosexuel, il faut bien reconnaitre qu’on ne le voit avoir des relations qu’avec des femmes (Claudia, Sammy-Jo) et être terriblement timoré concernant sa propre orientation sexuelle.
Aujourd’hui le personnage de Steven semblerait bien trop indécis à l’heure ou l’homosexualité est devenue banale dans els séries télé, mais à l’époque beaucoup d’homosexuel intériorisaient eux-mêmes une certaine forme d’homophobie qui les empêchaient clairement de vivre leur sexualité au grand jour et les poussaient à se conformer aux choix fait pour eux par la famille ou la société. Steven, dans les années 80, était plutôt représentatif de son époque, même si l’on pourrait penser que dans les milieux riches et bourgeois s’assumer était sans doute plus simple que dans les classes moyennes.
Mais dans l’Amérique des années Reagan, même si Steven Carrington n’a pas tenu toutes ses promesses en tant que porte drapeau de la cause gay, il eut au moins le mérite d’exister, et pour cela Dynastie se positionne clairement en tête du progressisme comparé aux 3 séries de Lorimar. Et la saga des Carrington va également imposer un personnage de couleur au premier plan en créant Dominique Devereaux, la demi-sœur de Blake.
Ont peut donc conclure que si Dynastie se situe bien dans l’esprit de conservatisme des années Reagan aux Etats-Unis, tout comme les autres Prime-Time soap d’ailleurs, peut-être à elle le plus fait la preuve d’un certain progressisme, qui peut apparaitre timide aujourd’hui mais qui était, à l’époque, pour le moins révolutionnaire.
Encore une fois je vous parle des souvenirs de mon voyage, mais cette fois il y a un lien 😁LOL
J’avais envie de vous parler un petit peu d’un lieu très touristique de San Francisco, sur le port, un lieu que l’on appelle le Pier 39 (jetée 39), l’une des jetée donnant sur la baie. Cette jetée est célèbre pour deux choses. Tout d’abord elle accueille de nombreux restaurants et boutiques pour touristes et elle est un passage incontournable, vous pouvez déjeuner au restaurant Bubba Gump si vous aimez les crevettes, ou prendre un cocktail au Hard Rock Café, et vous arrêter dans une boutique de t-shirt ou bien dans la fameuse boutique pour gaucher (inspirée de celle de Ned Flanders dans Les Simpsons).
Ce lieu est emblématique de San Francisco et de nombreuses scènes de films y ont été tournées. Un tournage était d’ailleurs en cours quand j’y suis passé.
Bien sûr depuis la jetée vous avez aussi une vue imprenable sur Alcatraz au milieu de la baie, sur le Fisherman’s Warf (le quai des pêcheurs) situé un peu plus loin et sur lequel se trouvent aussi quelques attractions comme une grande roue et d’autres boutiques.
Mais l’attraction universelle du lieu c’est la fameuse colonie de lions de mer qui est installée là. Ces animaux marins imposants et extrêmement bruyants sont là par dizaine, sur des pontons flottants, profitant du soleil sous le regard amusé de milliers de touristes. Les lions de mer, sortes de grosses otaries (les mâles peuvent atteindre 2.5 mètres de long et peser 400 kg) sont arrivés là en 1989…
Si je vous parle de ce lieu et que je partage quelques images avec vous, c’est que ce lieu apparait dans un épisode de la saison 6 de Dynastie. Adam y demande Claudia en mariage. Mais en 1985, le Pier était moins fréquenté, un peu moins chargé de boutiques et restaurant et surtout il n’avait pas encore son attraction principale. En effet c’est suite au tremblement de terre qui a secoué la baie de San Francisco en octobre 1989 que la colonie de lion de mer est venue s’installer là.
Je vous laisse donc écouter un instant les lions de mer (vidéo de mai 2024) avant de vous jeter avec avidité sur la saison 6 de Dynastie, disponible aujourd’hui sur le site. Et ce n’est pas tout, puisque la saison 6 de Dynastie a aussi servi de lancement au spin off, je vous offre la saison 1 des Colby en prime. Merci de continuer à me lire et n’hésitez pas à partager si vous trouvez cet article intéressant…
Invité chez Thierry Ardisson le 13 avril 2002, Larry Hagman s’est confié sur sa vie et ses démons. Il assurait à l’époque la promotion de son autobiographie, Hello Darlin’. On peux s’offusquer du manque de respect de certains sur le plateau mais retrouver Larry, 10 ans après l’arrêt de la série et 10 ans avant que l’on ne découvre de nouveaux épisodes, était un vrai moment de bonheur. Profitez…
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