Blood is thicker than Oil

Fantasme canin

Vous ne vous en souvenez peut-être pas, mais dans l’épisode 29 de Dallas 2012, Harris Ryland fourni à John-Ross le moyen de faire chanter un membre influent de la commission des chemins de fer en lui montrant une vidéo de cet homme, Stanley Babcock, sur le point d’avoir des relations sexuelles avec une prostituée déguisée en chien. Dans Dallas l’explication fournie est assez simpliste, Harris raconte que l’individu ne se serait jamais remis de la mort de son chien lorsqu’il était enfant.

Néanmoins cette scène fait écho à une scène d’un grand classique du cinéma fantastique et d’horreur, le film Shinning (1980). En effet dans ce film, inspiré du livre de Stephen King et réalisé par le génial Stanley Kubrick (Stanley Kubrick, Stanley Babcock ?), vers la fin du film, on peut voir une scène dans laquelle le personnage féminin du film surprend un homme en situation compromettante avec un autre homme déguisé en ours. En ours mais dans le livre de Stephen King il s’agit d’un masque de chien.

Or les analyses psychologiques de ce genre de scène évoquent une allusion à l’inceste et la symbolique du chien ou de l’ours serait à rapproché de la symbolique de la peluche qui caractérise l’enfance. Pas certain que dans Dallas il faille pousser aussi loin le niveau d’écriture des scénarii, néanmoins il semble évident que la scène surprise dans la maison close des Ryland soit un clin d’œil au film « Shinning ».

L’une des ultimes scènes du film The Shinning

Cette analyse vous parait pertinente ? Partagez l’article. Vous avez un autre point de vue ? Laissez un commentaire ici. Et n’oubliez pas de placer le site dans vos favoris.

2 réflexions sur “Fantasme canin”

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Retour en haut

En savoir plus sur Dallas

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture

Aller au contenu principal